17-18-19 JUILLET / ASTROSHØW OPEN AIR 2025

Nés en 1997, Adrien et Clément ont tous deux grandi à l’aube du nouveau millénaire, de ses fantasmes et ses désillusions. L’année de leur naissance est aussi celle de l’effervescence musicale de la French Touch et de la montée en puissance de la Britpop : deux courants majeurs qui infuseront deux décennies plus tard dans leurs premiers élans discographiques. Après un nouvel album fascinant et un Olympia bouillant en mai dernier, ce passage à Bordeaux est immanquable.

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Comment convaincre que Mustang est un des groupes français les plus importants de ces quinze dernières années ? À l’heure du cinquième album, Mustang a (un peu) changé et signe, avec MEGAPHENIX, son œuvre la plus variée et surprenante à ce jour. Son album le plus ouvert aussi, invitant le saxophoniste Thomas de Pourquery et le chanteur Arthur Teboul de Feu! Chatterton. En s’inscrivant dans plusieurs traditions à la fois (rock’n’roll, chanson d’ici, électro antédiluvienne, le tout mâtiné de frustration adolescente, de mélancolie bleutée et de méchanceté amusée et assumée), Mustang trace sa propre route, loin des modes qui se démodent.

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Originaires de Melbourne/Naarm, en Australie, ils déploient un son expansif, onirique et groovy, à la fois souvent énergique et parfois complètement décontracté.
On y retrouve des influences de genres comme le surf rock, l’indie et la new wave, ainsi que le blues et la pop psychédélique.

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Pour son premier album, ATOEM prend des risques et regarde au-delà de l’horizon artistique qui a fait sa réputation, cherchant les accidents, les contre-pieds, tout ce qui peut les aider à faire émerger la musique qu’ils ont en tête dans toute sa richesse. « Entropy », nous rappelle, à l’aube de l’ère des intelligences artificielles, que ce sont bien deux êtres humains, faits de chair et de sentiments, qui tournent les boutons de ces machines.

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Le trio du sud de Londres, composé de Lottie Pendlebury, Rosy Bones et Holly Mullineaux, entre dans son ère la plus assurée et créative en 2024 avec son troisième album Below the Waste. Tissant sans effort des éléments disparates de post-punk, expérimentation folk délicate et synth-pop cool.

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A journey that never was, deuxième album solo d’Arthur Satàn, paru chez Born Bad, le guitariste offre une fête de la musique déraisonnable et maximaliste, gavée d’influences pop 1960’s, complètement assumées. Et ce John et ce Paul, dont vous parlez, ils sont dans la pièce ? Oui, et ils sont venus avec la décennie musicale suivante. Ce disque de grand solitaire bien entouré joue avec cet héritage comme un enfant rêverait son goûter d’anniversaire si on lui foutait la paix.

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Pythies est un trio de “bitchy grunge” de Paris fondé par Lise.L (ex- Romance).
Le projet est porté uniquement par des femmes et inclut une esthétique grunge inspiré des années 90 (Veruca Salt, L7, Sonic Youth, Hole) et un message féministe engagé. Depuis 2023, le groupe tourne en Europe et aux Etats-Unis. Pythies mêle sensualité et punk, grunge et ésotérisme, féminisme et provoc’.

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Un projet collaboratif de l’Italienne Benedetta, basée à Paris, et du Français Romain Play. Djs, diggers, musiciens, producteurs, organisateurs de soirées, résidents de Rinse, présentant leur DJ-set hybride unique en vinyle.

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Elément incontournable de la scène garage-punk internationale, les Dune Rats incarnent depuis longtemps l’esprit « do-it-yourself » du punk rock, une tradition profondément ancrée dans la scène musicale de Brisbane en Australie.

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Post-Garage ? Les morceaux du groupe s’offrent des textures très identifiables, écartelant les structures du grunge et du punk pour y incorporer mélodies orientales, rythmes surf aux allures impétueuses et progressions lancinantes.

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Kate Clover est une auteure-compositrice et musicienne originaire de Los Angeles, en Californie. De ses origines locales, avec des groupes comme X, Germs et The Gun Club, à la misère glamour des rues du centre-ville, Clover s’inspire de la ville qui l’a élevée, explorant les subtilités de la découverte de soi, de la création personnelle et de l’instinct de survie là où les rêves naissent pour mourir.

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Entre harmonies vaporeuses et instants de brutalité distordue, les quatre bordelais dessinent sur scène un post-grunge d’une violente délicatesse. Né d’un besoin de grandir, et inspiré du rock le plus nébuleux des années 90/2000.

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